bye THE MAGIC ANDY
Le prestidigitateur chinois Wei Ling Soo est le plus célèbre magicien de son époque, mais rares sont ceux à savoir qu’il s’agit en réalité du nom de scène de Stanley Crawford : cet Anglais arrogant et grognon ne supportant pas les soi-disant médiums qui prétendent prédire l’avenir. Se laissant convaincre par son fidèle ami Howard Burkan, Stanley se rend chez les Catledge qui possèdent une somptueuse propriété sur la Côte d’Azur et se fait passer pour un homme d’affaires, du nom de Stanley Taplinger, dans le but de démasquer la jeune et ravissante Sophie Baker, une prétendue médium, qui y séjourne avec sa mère.
Critique
Bon encore une fois Woody Allen fait du « Woody Allen », et ce n'est absolument pas pour me déplaire car il n'est bon que dans ce domaine. Tous les décors (sud de la France), la lumière (qui fait réellement parti du film car nous pouvons voir quel varie selon le caractère de chaque personnages), la photographie (Allen se sert d’un cinémascope des années 70, pour donner au film ce grain léger et joyeux), ainsi que les plans très longs et les transitions fondus (qui n’est pas s’en rappeler le temps des grands chefs d’œuvres) sont justes époustouflants…
C’est donc avec tous ces éléments techniques (qui ont dû surement vous soulez pendant votre lecture) que Allen arrive à sublimer le sujet principal de son film; une histoire d’amour, car oui ce n’est pas un film de magie qu’on vient voir mais bien une histoire d’amour... Et bien plus que ça Woody Allen met une part de lui- même dans son personnage principal Stanley Crawford et à travers lui, il nous fait part de son angoisse sur la vie et sur la manière dont il la voit : de façon cynique et sans l’ombre d’une magie. A la différence de Sophie Baker, joué par Emma Stone, qui est époustouflante et vraie (comme dans chacun de ses films) par ses dialogues, sa naïveté, sa démarche et par cet aura de bonheur qui tourne autour d'elle a chaque séquence.
J’ai personnellement passé un agréable moment, j’ai beaucoup ris, le film que j’ai vu ne ressemble à aucun autre et c’est ça qui me plait, cette signature artistique qu’à Woody Allen dans tous ses films et qui fait de lui un réalisateur qui est capable d’aborder tous les sujet possibles et inimaginables mais qui se démarquera car il met toujours une partie de lui dans ses films. Je n'ai qu'un conseil à donner, allez le voir, pour l’humour fin et réfléchi, pour la manière dont un être si rationnel peut se perdre dans une situation irrationnelle : celle de tomber amoureux.
(Et peut être qu'après ça, vous aurez vous aussi envie de vous fourrer dans cette merde qu’est l’amour…)
Le prestidigitateur chinois Wei Ling Soo est le plus célèbre magicien de son époque, mais rares sont ceux à savoir qu’il s’agit en réalité du nom de scène de Stanley Crawford : cet Anglais arrogant et grognon ne supportant pas les soi-disant médiums qui prétendent prédire l’avenir. Se laissant convaincre par son fidèle ami Howard Burkan, Stanley se rend chez les Catledge qui possèdent une somptueuse propriété sur la Côte d’Azur et se fait passer pour un homme d’affaires, du nom de Stanley Taplinger, dans le but de démasquer la jeune et ravissante Sophie Baker, une prétendue médium, qui y séjourne avec sa mère.
Critique
Bon encore une fois Woody Allen fait du « Woody Allen », et ce n'est absolument pas pour me déplaire car il n'est bon que dans ce domaine. Tous les décors (sud de la France), la lumière (qui fait réellement parti du film car nous pouvons voir quel varie selon le caractère de chaque personnages), la photographie (Allen se sert d’un cinémascope des années 70, pour donner au film ce grain léger et joyeux), ainsi que les plans très longs et les transitions fondus (qui n’est pas s’en rappeler le temps des grands chefs d’œuvres) sont justes époustouflants…
C’est donc avec tous ces éléments techniques (qui ont dû surement vous soulez pendant votre lecture) que Allen arrive à sublimer le sujet principal de son film; une histoire d’amour, car oui ce n’est pas un film de magie qu’on vient voir mais bien une histoire d’amour... Et bien plus que ça Woody Allen met une part de lui- même dans son personnage principal Stanley Crawford et à travers lui, il nous fait part de son angoisse sur la vie et sur la manière dont il la voit : de façon cynique et sans l’ombre d’une magie. A la différence de Sophie Baker, joué par Emma Stone, qui est époustouflante et vraie (comme dans chacun de ses films) par ses dialogues, sa naïveté, sa démarche et par cet aura de bonheur qui tourne autour d'elle a chaque séquence.
J’ai personnellement passé un agréable moment, j’ai beaucoup ris, le film que j’ai vu ne ressemble à aucun autre et c’est ça qui me plait, cette signature artistique qu’à Woody Allen dans tous ses films et qui fait de lui un réalisateur qui est capable d’aborder tous les sujet possibles et inimaginables mais qui se démarquera car il met toujours une partie de lui dans ses films. Je n'ai qu'un conseil à donner, allez le voir, pour l’humour fin et réfléchi, pour la manière dont un être si rationnel peut se perdre dans une situation irrationnelle : celle de tomber amoureux.
(Et peut être qu'après ça, vous aurez vous aussi envie de vous fourrer dans cette merde qu’est l’amour…)
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