Ce voyage est magique.
Nous vivons les montagnes russes des émotions : crises de rires et éclats de pleurs ponctuent nos journées.
Nous avons cette après midi été à Zikhron Yaacov qui se trouve dans le nord près de Césarée en dessous de Haifa.
Cette ville qui incarne la sérénité est considérée comme l'un des plus beaux endroit d'Israël.
Il s'agit d'une "moshava" c'est à dire d'un village agricole où l'on peut compter près de 2000 habitants.
Pourquoi s'intéresser à cette ville ? La réponse s'explique par la singularité de son histoire.
Mais pour la comprendre il faut remonter le temps.
Tout a commencé à la période moderne qui a connu un retour des juifs en Eretz Israêl. On peut considéré que c'était la première vague d'alya.
Ces juifs venaient de Roumanie et d'Ukraine principalement.
Pourquoi s'intéresser à cette ville ? La réponse s'explique par la singularité de son histoire.
Mais pour la comprendre il faut remonter le temps.
Tout a commencé à la période moderne qui a connu un retour des juifs en Eretz Israêl. On peut considéré que c'était la première vague d'alya.
Ces juifs venaient de Roumanie et d'Ukraine principalement.
Leur ambition était de devenir agriculteurs. Cependant plusieurs problèmes entravèrent leur chemin.
Bien qu' animés d'un sentiment sioniste prédominant ils n'étaient pas trés doués agricolement parlant...
Bien qu' animés d'un sentiment sioniste prédominant ils n'étaient pas trés doués agricolement parlant...
Ils achetèrent alors des terres rocailleuses pour au final se retrouver endettés. Leur moyen financier devenait alors trop faible pour subvenir aux besoins de leurs enfants...
A l'époque c'est à dire 140 ans en arrière la ville était remplie de marécages lieu qui était propice au développement de la malaria qui est une maladie qui conduit à la mort.
La plupart des premiers pionniers sont donc morts de cette maladie pendant cette première alya.
Chaque plantation constituait un prix humain très fort. Il y a près de cette ville un cimetière de tombes d'enfants victimes de cette terrible maladie.
Quand ces pionniers se retrouvèrent dans cette détresse, ils décidèrent d'envoyer des lettres et demandes à des représentants et philanthropes juifs dont Edmond de Rothshild.
Benjamin de son prénom porta alors secours à ces moshavots. Mais il le fit à une condition ...le faire de manière anonyme. Ce fût alors un projet gigantesque.
Cet argent permit dans un premier temps à des agronomes français de racheter une partie de la production.
Benjamin souhaitait avant tout leur autonomie et ne désirait pas les considérer comme des assistés c'est pourquoi il a exigé qu'on lui rembourse le prêt petit à petit.
Le père Rothshild aura 5 fils qui se voulaient être des travailleurs sans oublier un principe fondamental: le sens de la famille ( qu'importe ta réussite tu continueras à manger le couscous-boulette le vendredi).
Ce principe se retrouve chez beaucoup de juifs même si on a BH bien réussit sa vie il ne faut jamais oublier ceux qui en font partie et nous ont permit d'arriver jusqu'ici.
De ce premier Rothshild un empire économique se créa.
Celui-ci demandait toujours la carte pas la carte Gold ( copiright blague Tchenio) mais la carte géographique pour mieux connaître les villes où il allait investir.
Après cette visite sababa : sympatique, nous avons finis la journée chez le glacier !
Benjamin souhaitait avant tout leur autonomie et ne désirait pas les considérer comme des assistés c'est pourquoi il a exigé qu'on lui rembourse le prêt petit à petit.
Le père Rothshild aura 5 fils qui se voulaient être des travailleurs sans oublier un principe fondamental: le sens de la famille ( qu'importe ta réussite tu continueras à manger le couscous-boulette le vendredi).
Ce principe se retrouve chez beaucoup de juifs même si on a BH bien réussit sa vie il ne faut jamais oublier ceux qui en font partie et nous ont permit d'arriver jusqu'ici.
De ce premier Rothshild un empire économique se créa.
Après avoir écouté cette histoire, nous avons fait minha dans la synagogue au ciel étoilé qui prend le nom du père de Yacoov.
Celui-ci demandait toujours la carte pas la carte Gold ( copiright blague Tchenio) mais la carte géographique pour mieux connaître les villes où il allait investir.
Après cette visite sababa : sympatique, nous avons finis la journée chez le glacier !
Ce que je retiendrais de cette journée (mis à part le fait qu'on soit tous écœurés par ce qu'on a mangé)
c'est que dans la vie il faut toujours accepter le coup de pouce qu'on nous donne , la main qu'on nous tend.
Cela ne doit pas être considéré comme un signe de lâcheté, de faiblesse mais de force d'affirmer que dans la vie pour avancer ,on a parfois besoin des autres que se soit pour un soutien moral ou financier.